mardi 3 août 2010

Musée d'Arles


A Arles coule le Rhône.
Qu'a-t-on trouvé au fond du fleuve ?


Ce buste de César en marbre.
Cela fait plus de 2000 ans qu'il patauge dans le Rhône et la pureté, la beauté de ce visage rest extraordinaire.


On dépasse cet imposant Auguste


Voila le moulage de la Vénus d'Arles découverte dans les fouilles du théâtre antique et maintenant au Louvre car offerte en 1680 à Louis XIV.
Un vieux poème provençal, le plus célèbre de Théodore Aubanel, intitulé "La Vénus d'Arles"personnifie cette Vénus et traduit la dévotion qu'elle a suscité et commence ainsi :
o douço Venus d'Arle! O fado de jouvènço!
Ta bèuta que clarejo en touto la Prouvènço,
Fai bello nôsti fiho e nôsti drole san!
  On peut traduire (mon provençal étant médiocre) par :
Oh Douce Vénus d'Arles! Jeune nymphe!
Ta beauté éclaire toute la Provence
Tu es notre jolie fille et notre brillante étoile 


Suit une colonne tronquée représentant une danseuse


A coté du buste de César, enchâsse, ce bronze d'un homme vu de dos


Le même, avec une luminosité différent, de face. Ce pourrait être un esclave

Suite de la visite demain

2 commentaires:

  1. C'est avec plaisir que je parcours à nouveau cette splendide exposition

    RépondreSupprimer
  2. Oui oui sublime mon temps était malheureusement un peu court

    RépondreSupprimer