J’ai ouvert la porte
Et je t’ai vu ma mie.
Que le diable m’emporte
C’est pour la vie !
Car mon cœur fébrile
Tapa à mon insu
Tant mon espoir brille.
Je t’imaginai en rêve,
Je ne voyais que ta porte
Présente sans trêve
Où que je me porte.
Ma porte sera ouverte
Comme l’est mon cœur
Et sera recouverte
Pour notre bonheur
Je t’en prie ma mie
Daigne regarder celui
Qui pense jour et nuit
A être ton ami
Isis et Eros sont alliés
Pour une vie démesurée
D’amour et de volupté
Dont j’ai toujours rêvé
Belle amie
Telle est la complainte
D’un ami
Dont l’ardeur ne sera éteinte
Caphadock
Sur le seuil de la porte
RépondreSupprimerTon imagination
Est sans limite !
Maison ancienne et vieille porte...
1636, gravé sur le mur
Pour savoir ce qui se passait à cette époque, il suffit de suivre ce lien !
http://fr.wikipedia.org/wiki/1636
Biseeeeeeeeeeees de Christineeeeeeee
Christine
RépondreSupprimerL'imagination sert à imaginer l'inimaginable
C'est le berceau de l'utopiste.
Il est lui même à la base de toutes les grandes inventions sur notre terre
Amitiées