Lorsqu'on arrive au Louvre la première chose qui attire l'oeil est la "pyramide" conçue en 1983 par Ming Pei
Cette pyramide alors assez controversé est l'entrée principale de cet immense musée et donne une très bonne lumière au hall d'entrée gigantesque. En tous cas je ne voudrai pas être "laveur de carreaux" car il y en a 603 en losange et 70 en triangle.
Ne voulant pas passer des heures à faire la queue je suis passé pour ma part par la galerie réservée aux cartes pass
Pour rester vers l'extérieur cette photo prise de la fenêtre d'une des salles ou on voit l'arc de triomphe du Carrousel
Mon périple intérieur commence par la traversée d'immense salles consacrées aux sculpture grecques et romaines
Un magnifique trône
et surtout cette statue en marbre de Antonio Canova (1757-1822)
Psyché ranimée par le baiser de l'Amour
Puis une succession de salles toutes plus belles les unes que les autres avec des objets et peintures magnifiques
Les plafonds ne sont pas en reste
J'arrive à la galerie Napoléon III malheureusement en travaux mais la grille d'entrée a elle seule vaut le détour
En haut d'un grand escalier de marbre la "Victoire de Samothrace"
Mais là un monde fou. Impossible d'approcher la Joconde tableau que je connais bien et mon fils qui est avec moi insiste pour aller voir "le radeau de la Méduse" qui a une petite histoire entre nous. La foule compacte des touristes et la difficulté que nous avons pour avancer me donne le temps de vous conter cette histoire. Lors de la sortie du film "Asterix et Cléopatre" nous étions à Paris et après avoir réservé les places nous sommes allé au Louvre et passé devant ce très grand tableau. Je lui ai expliqué ce que je savais du tableau et quand nous regardions le film, à moment donné lorsque les romains bombardent le temple avec des boulets. Obelix avec sa force légendaire les renvoient mais un passe par dessus la montagne et tombe en plein sur le bateau pirate. Le plan suivant est une reproduction du radeau de la Méduse et mon fils hilare me dit : c'est ce que l'on a vu tout à l'heure.
En regardant ce tableau terrible je ne peut n’empêcher, moi aussi, de m'accrocher à cette petite voile que l'on devine au loin.
En revenant ce tableau de Paul Delaroche (1797-1856)
La jeune martyre
Une chrétienne jetée au fleuve par les romains pour ne pas avoir abjuré, est découverte par d'autres croyants. Marqué par la mort de sa femme, Delaroche, abandonne l’anecdote pour faire de cette martyre une allégorie austère du sacrifice de la jeunesse. Il renouvelle ainsi le thème de la mort d'Ophélie.
Nous passons devant les peinture anglaises que j'aime beaucoup
Bien que prit par le temps je fais un détour par l'Egypte ou je ne peu m’empêcher de penser à ce qui s'est fait il y a près de 5000 ans
Statue du dieu Horus, bronze autrefois recouvert de métal doré et qui date de la troisième période intermédiaire (1069-664 av JC)
Au cours d'une cérémonie de purification, le dieu Horus versait de l'eau sur le roi
Stèle en bois peint de la 22ème dynastie
Tapéret prie le dieu Soleil Rê qui darde sur elle ses rayons en forme de fleurs
Voilà, raccourcie ma balade qui à duré une journée entière
Humour tel père tel fils !!!!!! sur" Le radeau de la méduse"
RépondreSupprimerToujours un grand plaisir de retrouver les statues et tableaux
Bravo Bernard pour cette promenade et commentaires