Toujours en suivant Eugène Delacroix et la présentation de son "album du Maroc" ce poème de Safi ad-Din al-Hillî
Circulant, je crois la terre mienne
Et les vastes horizons sont à ma portée.
Si en un lieu je m'établis, ses gens deviennent ma famille
Où que je sois, le pays est mon pays.
Il m'arrive de m'égarer, mais bien que je haïsse l'égarement
Je refuse de dire : "Où est le chemin ?"
Par orgueil je refuse de m'adresser à un guide
De crainte que ma bouche ne laisse échapper la question.
Beau poème et les aquarelles de Delacroix m'ont toujours émue, carnet de voyages
RépondreSupprimeril reprenait avec tant d'élégance ses croquis pour en faire des chefs - d'oeuvres
belle émotion avec cette aquarelle, c'est le tremblé, l'incertain du décor
RépondreSupprimerquelle vision!
merci Bernard
Merci Arlette et Brigitte
RépondreSupprimerAu Louvre on peut vibrer en dehors de la foule