Toujours de Delacroix "La noce juive au Maroc", délaissant l'immense tableau de la liberté guidant le monde d'ailleurs proche du radeau de la Méduse mentionné ces jours derniers , ce tableau de taille plus modeste et quelque peut délaissé par la foule m'inspire de belles sensations qui vont bien avec ces mots du poète arabe Al-Bûrînî poète et astrologue égyptien du moyen-age.
Je fus épris d'un charme que je ne peut décrire
Car seul mon coeur l'a goûté
Je fus épris d'un charme que je ne peut décrire
Car seul mon coeur l'a goûté
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