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Fréjus, Var, France
Je suis un curieux de naissance, un autodidacte. J'aime découvrir et pourquoi pas faire découvrir la photo, l'histoire, la science, la technique et surtout tous les ARTS. Si les sujets vous intéressent merci de me laisser un petit commentaire.Je peux faire des erreurs aussi il est évident que les critiques sont les bienvenues.

samedi 20 septembre 2014

Survol de Paris (suite)

Après le beau soleil le lever du jour est tout aussi intéressant 


Du coté de la défense l'aube pointe son nez


Il est cinq heure, Paris, Paris s'éveille ...........


Les flammes de la nuit vont s'éteindre
Et de bleu le ciel va se teindre

vendredi 19 septembre 2014

Survol de Paris

Une quinzaine de jours chez mes enfants à Suresnes, au pied du mont Valérien j'ai pu jouir avec le beau temps d'une vue extraordinaire sur Paris


Au quatrième étage d'un petit immeuble exposé plein sud on voit ici la première ligne verte est la Seine et le grand vert le bois de Boulogne


Au pied passe le RER


En regardant à gauche : la Défense tout près


La Défense et ses grandes tours


En tournant vers la droite au centre, en haut le Sacré-cœur et à droite au début du bois de Boulogne une haute tour c'est la tour hôtel du palais des congrès (Porte Maillot)


A gauche la colline de Montmartre surmonté du Sacré-cœur et à droite le Palais des congrès


Toujours vers la gauche un grand morceau de ferraille et au milieu la tour Montparnasse 


Ah !!! en plus gros plan le bout de ferraille c'est la tour Eiffel et à gauche une boule dorée c'est le dôme des Invalides



Ici on voit à droite dans le début du bois de Boulogne le "Jardin d'acclimatation", haut lieu pour les enfants et à coté, ici plein centre la "Fondation Louis Vuitton" musée qui va bientôt ouvris ses portes. Juste au dessus le haut de l'arc de Triomphe


jeudi 18 septembre 2014

Monet

Suite au magnifique reportage d'Arlette "Au gré des jours" sur les pointus je me suis contenté ce dernier weekend de deux petites barques pas très colorées.


Ce ne sont pas les barques du "Capitaine Haddock"


Elles ne voguent pas sur la mer mais dans un étang


Si ces barques renommées ne sont pas très colorées le par contre le parc est féerique



A coté de l'étang un jardin avec des fleurs



Des fleurs 



Des fleurs et d'extraordinaires couleurs



L'étang n'est pas en reste



Car au milieu des grands arbres, la forêt de bambous et les petits ponts japonais



Il héberge une forêt de nénuphars



Cet endroit est une drogue de beauté qui a "drogué" un peintre



Il s'agit évidemment de Claude MONET à Giverny. C'est là qu'il a vécu et nous a offert ses extraordinaires toiles et si vous avez un peu de temps passez donc, à Paris au musée Marmottan

vendredi 1 août 2014

Ma vie


A vingt ans j'avais un désert dans la tête.
J'ai trouvé une petite graine,
J'ai trouvé un peu d'eau,
J'ai semé,
J'ai pensé,
J'ai rêvé,
J'ai rigolé.
Alors un arbre à idées a poussé.
Le temps passé, c'est une forêt.
Elle est devenue l'Amazonie
Et je ne sais plus ou je suis.

                                                            Caphadock

mardi 29 juillet 2014

Dangers de la mer

Les dangers de la mer sur la "Cote d'Azur" ne sont pas les requins bleus largement diffusés sur les médias. Ces requins ont toujours existes et n'ont jamais fait de mal à personne. Par contre certains animaux peuvent être très désagréables mais pas mortels. En voici certains avec leur spécificités:


La méduse souvent en colonies nombreuses au bord de l'eau et souvent invisible du nageur occasionne des brûlures sur la peau à ne pas frotter. Sous le chapeau ce sont les filaments qui sont urticants et les traces sur votre peau peuvent rester plusieurs jours.


 La vive est un petit poisson à moitié enfouis dans le sable, donc presque invisible. Il n'attaque pas mais si on met le pied dessus il a des piquants vénéneux qui font très, très mal. Précautions : faire très attention ou on met les pieds ou mettre des chaussures


La torpille est une sorte de raie posée sur un fond sableux et presque invisible est un animal craintif qui peut s'il se sent attaqué envoyer une décharge électrique de 400v


Pour les amateurs de fonds rocheux le principal problème si on a pas de chaussure c'est l'oursin. Le problème est que ses piquants sont très fragiles. L'épine qui entre dans la peau se casse à l'intérieur et est très difficile à enlever et comme il n'y en a pas qu'une !!!! La solution quand on sort de l'eau dans les rochers : là ou on va sortir on met la tête sous l'eau et on ouvre les yeux pour voir s'il y a des oursins (on peut sans danger ouvrir les yeux dans l'eau)


La rascasse, comme la vive a des piquants vénéneux. Elle se trouve au fond de l'eau au milieu des rochers est reste invisible car se confondant à son environnement, on ne voit que ses yeux. Elle est sans danger pour le nageur mais pour le pécheur au harpon ou à la ligne ne jamais prendre le poisson à la main non protégée


La murène est un poisson ressemblant à un serpent, comme le congre, et qui vit dans un trou de rocher. La morsure de la murène est vénéneuse et fait très très mal alors que le congre mord bien mais n'est pas vénéneux (j'aurais tendance à comparer la murène à la vipère et le congre à la couleuvre).
Une règle d'or pour ceux qui veulent contempler les fonds rocheux : ne jamais glisser un bras dans un trou de rocher

Il y a un grand nombre d'animaux qui peuvent être effrayants mais qui sont totalement inoffensifs tel que les poulpes ou pieuvres, étoiles de mer, crabes etc



lundi 23 juin 2014

Jean SOUVERBIE

Jean Souverbie nait à Boulogne-Billancourt en 1891 d'une famille bourgeoise, dont le père était ingénieur des Arts et Métiers. De constitution relativement fragile il fut souvent malade ce qui le rendit solitaire et reçut une instruction à la maison. Dessinant sans cesse et présentant des dispositions pour cet art, il fut émerveillé par les eaux fortes de Rembrandt. Son père lui offrit, vers l'âge de dix ans une boîte de couleurs à l'huile, chevalet, palette et toiles. Maurice Denis remarque en 1908 le jeune Jean âgé de dix-sept ans pour un autoportrait. En 1911 le jeune artiste entre à l'Académie Julian dans l'atelier de Jean-Paul Laurens. Il y fait en 1913 la connaissance de Roger Chastel avec lequel il se lia d'une amitié qui ne s'est jamais démentie. En 1916 il intègre l'Académie Ranson, où enseignent des Nabis : Maurice Denis, Sérusier, Édouard Vuillard, Félix Vallotton.


En 1920 il épouse sa femme qui sera son modèle préféré ainsi que la mère de leurs cinq enfants. C’est vers 1920 qu’il découvre le cubisme à travers l’œuvre de George Braque. En 1925 Il y fait la connaissance de Lhote, Gleizes, Picasso, Marcoussis, et de nombreux autres peintres d’avant-garde. C'est un grand admirateur de Picasso auquel la facture de ses nus s'apparente. Vers les années 1930, il se consacre essentiellement à l'art monumental et présente l'ensemble de ses œuvres à la Biennale de Venise. D’abord  professeur aux Ateliers d’Art Sacré à la mort de Maurice Denis , il enseigne à partir de 1945 et pendant dix-sept ans l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts où un atelier de peinture monumentale est créé spécialement. Membre de l'Académie des Beaux-Arts en 1946, consacré par une rétrospective à la Galerie Bernheim Jeune en 1976, Jean Souverbie décède en 1981.


En 1972 Jean Souverbie vient au printemps passer quelques temps comme pensionnaire dans l’hôtel de mes parents à Saint Raphaël, au bord de la mer. Je suis, alors, chargé par mon père, avec sa voiture de lui servir de chauffeur. Tous les jours après la sieste nous allons tous les deux à un endroit précis pendant une heure ou deux. J’ai d’ailleurs eu droit par son œil expert à toute une tirade sur la luminosité, les couleurs, les ombres et les volumes qui, chaque jour changent.


  Cet endroit que les gens de chez moi doivent connaître se trouve sur la route d’Agay par l’intérieur ou la vue sur l’Esterel est sublime A ce moment-là je revenais de Paris ou j’avais habité pendant deux ans, épousé ma femme et ma fille Mélanie avait moins d'un an.
Un soir au dîner, attendri par l’image de ma fille Jean Souverbie la dessine sur un coin de la nappe en papier et nous l’offre. Je l’ai toujours chez moi encadré  et c’est pour moi un grand souvenir.



lundi 16 juin 2014

La plaisante saison

Fouillant dans mes vieux bouquins j'en ai trouvé un sur Alienor d'Aquitaine par Régine Pernoud édité en 1965


Ce livre qui retrace la vie d'Alienor est rehaussé de poèmes de troubadours de ce temps là en langue d'oc.
Puisque l'été arrive j'ai choisi celui de Peire Vidal :


Be m'agrada la covinens sazos,
E m'agranda lo cortes temps d'estiu
E m'agradon l'auzel, quan chanton piu,
E m'agrandon fleretas per boissos,
E m'agranda tot so qu'als adregz platz,
E m'agranda mil tans lo bels soltz.
Don per mon grat jauzirai lai breumen,
On de bon grat paus mon cor e mon sens.

Elle m'agrée, la plaisante saison
Et bien m'agrée le courtois temps d'été
M'agrée l'oisel quand chante sa chanson,
Et m'agréent fleurettes dans le buisson,
Et m'agrée ce qui plaît à nobles gens
Surtout m'agréent les courtois entretiens
Dont pour mon gré jouirai avant longtemps
Où de bon gré mets mon cœur et mon sens.


Et Bernard de Ventadour chante Alienor "la reine des troubadours" :

Pel doutz chan que l'l rossinhols fai
La noih can me sui adormitz,
Revelh de foi totz esbaïtz,
D'amor pensius e cossirans ;
C'aisso es mos meher mesters,
Que tostems aï joi volunters,
Et ab joi comensa nos chans

Au doux chant qu'un rossignol fait, 
La nuit, quand je suis endormi,
M'éveille en joie, tout ébahi,
D'amour pensif et soupirant ;
D'où viennent mes meilleurs couplets;
Qu'en tous temps ai joie volontiers
Et en joie commence mes chants

lundi 2 juin 2014

Victor Charreton

En fouillant dans de vieux papiers de mon père, mon attention est attirée par une copie (ci-dessous) d'un tableau que lui aurait donné un peintre alors qu'il gérait le restaurant des "Facultés" Rue de Marseille à Lyon entre les deux guerres.
En regardant en bas à droite je lis "Victor Charreton", ce qui m'amène à faire des recherches sur ce peintre et découvre un univers extraordinaire.

  
Victor Charreton est un peintre paysagiste auvergnat né à Bourgoin en 1864
L'artiste
 manifeste très tôt le goût pour la poésie et la peinture. Ses études de droit le conduisent au métier d'avoué à la cour d'appel de Lyon. En 1894 il débute au salon de la "Société Lyonnaise des Beaux Arts" jusque en 1902. Il vend alors son étude pour se consacrer uniquement à la peinture


En 1903 il co-fonde avec le peintre Bonnard le salon d'Automne. Son succès est rapide et sa réputation dépasse vite le cercle des salons. Il est décoré de la "Légion d'Honneur" au titre de peintre en 1914



Victor Charreton a conseillé et influencé de nombreux peintres. L'Auvergne
 le séduit par l'âpreté de ses paysages et la luminosité de ses couleurs. Avec le peintre Léon Boudal curé de Murol dont voici un tableau



il fonde l'Ecole de Murol qui attire de nombreux artistes de tous horizons séduits par ce néo-impressionnisme qui exprime si bien la simplicité  crue et la lumière des paysages auvergnats.
Le pensionnaire de l'école J. Mario Pérouse a produit cette caricature de l'école en marche


Victor Charreton meurt en 1936 à Clermont-Ferrant. On trouve ses œuvres dans les plus grands musées mais si vous passez du coté du lac Falbon à Murols faites une halte au musée de l'école des peintres de Murols et ne pas oublier l'église décorée par l'abbé Boudal
(voir site internet Victor Charreton)

dimanche 25 mai 2014

MAMAN

Maman tu m’as appris
Que le plus beau des cadeaux
Est que je te donne mon cœur.

Maintenant que tu es parti.
Je pense, que tout là-haut
Tu as gardé mon cœur.

Moi j’ai gardé ton souvenir.
Il est en moi pour l’éternité.
Tu comblais tous mes désirs
Que je n’avais pas toujours mérités.

Avant, pour nous, la fête des enfants
Durait tous les jours, à longueur d’année
Et moi, comme tous les enfants
Je n’ai jamais su te dire que je t’aimai.

Dimanche c’est la fête des mères.
Je n’ai pas de cadeaux, tu n’en as que faire.
Mais je sais que tu seras là, avec mon père
Et pour moi votre absence sera moins amère.

Amour, Amour

Toujours, Toujours



lundi 19 mai 2014

Devinette

Comme Tilia voici une devinette ou un jeu de découverte.


Qu'est ce que cet objet découvert lors de mes balades et à quoi sert-il ?
(je ne répondrai à vos commentaires que dans quelques jours)
Comme l'ont dit Josette, Tilia et Christine il s'agit du "senet", un jeu joué dans toute l'histoire de l'Egypte ancienne. Il est très rare d'en trouver complet. Si il a été en 1906 découvert dans la tombe de Kha moi je l'ai déniché au musée égyptien de Turin il aurai 3500 ans. Cette boite dotée d'un tiroir pour le rangement des pièces est gravé de douze cases plus une ligne de huit cases au centre. Les pièces du jeu sont formées de cinq bobines et de set cônes. Comme beaucoup de jeux de société modernes, on jouait au "senet" à deux avec un dé maintenant mais alors avec un osselet.
Le jeu de "senet" prenait beaucoup d'importance quand il était placé dans une tombe, car, d'après le chapitre 17 du "Livre des Morts" le gagnant allait remporter une âme "ba" vivante