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mardi 26 mai 2015

Phare d'Eckmühl

La montée du phare d’Eckmühl folklorique est devenue une épreuve sérieuse


Ce contre la montre original et festif a attiré cette année plusieurs athlètes confirmés, mais également des vacanciers venus s'amuser, ou se lancer des défis. "Je ne pensais pas qu'on aurait frôlé le record avec la barre mise par Quentin Thomas l'an dernier", a dit Corentin Peoc'h, à l'origine de l'épreuve.


"Au départ, en 2007, c'était du folklore, aujourd'hui des concurrents, athlètes confirmés ciblent cette épreuve, et certains se préparent, dans une tour des pompiers ou dans un phare de l’île de Ré, d'autres ignorent tout de leurs capacités", a-t-il ajouté.


Le championnat de montée du phare d'Eckmühl a été créé en 2007 par le Club athlétique bigouden (CAB) à l'occasion des 110 ans de ce monument qui guide les marins dans une zone parsemée de rochers au large de Penmarc'h (sud du Finistère).


En parcourant les 307 marches du phare breton d'Eckmühl en 48 secondes et 12 centièmes, un jeune athlète finistérien, Maxime Signorino, a été couronné. Le sportif de 18 ans a frôlé le record établi l'an dernier par un autre sportif du département.


Quelque 192 concurrents s'affrontaient pour cette épreuve créée en 2007 dont le record a été pulvérisé en 2013 par Quentin Thomas, un étudiant en médecine de Quimper (47 secondes et 2 centièmes). Le breton de 24 ans, absent cette année, avait alors amélioré son précédent record de plus de 5 secondes.


Lycéen, Maxime Signorino pratique depuis peu le sprint, 100 et 200 mètres au sein du Club athlétique bigouden (CAB). "Le phare, ça représente un bon 400 mètres", a-t-il raconté, essoufflé à l'issue de l’épreuve. "Au départ je visais 55 secondes... Pour la technique, il faut s'aider des rambardes".



4 commentaires:

  1. je rêve d'y monter...quand il y aura un ascenseur ! (je me suis contentée du sémaphore)

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    1. Un ascenseur ce serai domage mais on est pas obligé de mettre moins d'une minute pour monter moi j'ai du y passer eun bon quart d'heure avec poses.

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  2. "il faut s'aider des rambardes"...
    Il faut surtout avoir un cœur solide, qui ne lâche pas la rampe, pour réussir un tel exploit !

    Les ferronneries de la rampe et celles du dôme de la lanterne sont magnifiques.

    Merci pour ce billet qui m'a donné l'occasion de réviser mes connaissances vu que je me suis toujours intéressée aux phares bretons.

    Le phare d'Eckmühl porte un nom prestigieux, celui d'Adélaïde-Louise d'Eckmühl, fille du maréchal Davout, qui commandita sa construction et demanda à ce qu'il porte le nom de la victoire remportée par son père contre les autrichiens, ce qui lui valut le titre de prince.

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    1. Merci Tilia pour ce rappel il y a aussi en Algérie un endroit que j'ai fréquenté à ce nom mais en montant ces marches et étant dirigeant d'athlétisme cette histoire m'a intéresse

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