Qui êtes-vous ?

Ma photo
Fréjus, Var, France
Je suis un curieux de naissance, un autodidacte. J'aime découvrir et pourquoi pas faire découvrir la photo, l'histoire, la science, la technique et surtout tous les ARTS. Si les sujets vous intéressent merci de me laisser un petit commentaire.Je peux faire des erreurs aussi il est évident que les critiques sont les bienvenues.

dimanche 31 mai 2015

Perdu dans Lorient

Voulant aller visiter la "cité de la voile" à Lorient je me suis perdu.


Je me suis retrouvé dans un quartier abandonné ou tous les murs sont couvert de tags


Avec mon fils, ici devant ce tag et lui même tagueur occasionnel j'ai pris ces photos.


D'après mon fils ce quartier serait réservé aux tagueurs




vendredi 29 mai 2015

A la pointe de Penh Ir

A la pointe de Penh Ir


Aujourd’hui petite balade sur la presqu’île de Crozon. Arrivé à la pointe de Penh Ir un panorama à couper le souffle s’offre à moi : hautes falaises découpées avec le « tas de pois » et l’océan immense. Des bateaux paraissant petits avec leurs voiles chocolat vont, viennent semblant écrasés sous la falaise.


A coté sur un autre promontoire de cette même pointe une immense croix de Lorraine en pierre sur un petit socle. Elle est gravé, sur les deux faces comme habituellement des hommages à la gloire des bretons des forces françaises libres et à  Charles De Gaule.



Montant sur le socle et faisant le tour une inscription est gravée face à la mer : « Homme libre toujours tu chériras lamer » Alors m’asseyant à coté et observant ce tableau grandiose je me mis à penser à Baudelaire et contemplant mon âme je vis « l’albatros » ce géant des mers aussi majestueux en vol qu’emprunté sur le pont des navires « cap-horniers »


Homme libre, toujours tu chériras la mer !
La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame,
Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.

Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.

A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait !

Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.

Charles Baudelaire

mardi 26 mai 2015

Phare d'Eckmühl

La montée du phare d’Eckmühl folklorique est devenue une épreuve sérieuse


Ce contre la montre original et festif a attiré cette année plusieurs athlètes confirmés, mais également des vacanciers venus s'amuser, ou se lancer des défis. "Je ne pensais pas qu'on aurait frôlé le record avec la barre mise par Quentin Thomas l'an dernier", a dit Corentin Peoc'h, à l'origine de l'épreuve.


"Au départ, en 2007, c'était du folklore, aujourd'hui des concurrents, athlètes confirmés ciblent cette épreuve, et certains se préparent, dans une tour des pompiers ou dans un phare de l’île de Ré, d'autres ignorent tout de leurs capacités", a-t-il ajouté.


Le championnat de montée du phare d'Eckmühl a été créé en 2007 par le Club athlétique bigouden (CAB) à l'occasion des 110 ans de ce monument qui guide les marins dans une zone parsemée de rochers au large de Penmarc'h (sud du Finistère).


En parcourant les 307 marches du phare breton d'Eckmühl en 48 secondes et 12 centièmes, un jeune athlète finistérien, Maxime Signorino, a été couronné. Le sportif de 18 ans a frôlé le record établi l'an dernier par un autre sportif du département.


Quelque 192 concurrents s'affrontaient pour cette épreuve créée en 2007 dont le record a été pulvérisé en 2013 par Quentin Thomas, un étudiant en médecine de Quimper (47 secondes et 2 centièmes). Le breton de 24 ans, absent cette année, avait alors amélioré son précédent record de plus de 5 secondes.


Lycéen, Maxime Signorino pratique depuis peu le sprint, 100 et 200 mètres au sein du Club athlétique bigouden (CAB). "Le phare, ça représente un bon 400 mètres", a-t-il raconté, essoufflé à l'issue de l’épreuve. "Au départ je visais 55 secondes... Pour la technique, il faut s'aider des rambardes".



samedi 2 mai 2015

Réponse 9

Pour moi, venant du sud l'entrée en Bretagne se fait à Nantes ou @nn@ m'a fait découvrir le quartier Chantenay qui domine la rive nord de la Loire ou se trouve le musée Jules Verne et le square Maurice Schwob.


Au milieu de ce square "la gueuse" un groupe sculpté qui représente une mère bretonne éplorée, le corps de son fils rejeté par les flots étendu devant elle. Elle tend un point vengeur vers le fleuve qu'elle maudit. Cette statuaire de Paul Auban (1869-1945) identifie bien Chantenay et la butte Sainte Anne comme territoire breton.

vendredi 1 mai 2015

Réponse 8


A Quimper il y a une magnifique cathédrale gothique de 1239 dédiée aux saints bretons. En entrant, à droite, face à la chapelle de la passion je suis intrigué par une "mise au tombeau" que j’avais pu voir, l'année d'avant, dans la crypte de la cathédrale de Bourges. J'apprend,alors, que c'est un moulage de ce sépulcre du XVIème siècle qui a été effectué en 1868 et installé dans la cathédrale de Quimper par Froc Robert à la demande de l'évêque de l'époque Monseigneur Sergent.
Les 7 personnages entourant le Christ sont de gauche à droite : Joseph d'Arimathie, Saint Jean l’évangéliste, Sainte Marie, Marie Madeleine, Marie Salomé, Marie mère de Jean et Nicomède

Réponse 7


De retour de Audierne ou on prend le bateau pour l'île de Sein, au bord de la route je vois un édifice religieux en ruine. C'est l'ermitage de Languidou érigé vers 1260 à l'origine de la légende de Saint Kido.


L'édifice a été restauré au début du XVème siècle, époque de la construction de la rose du chevet. C'est l'une des meilleures représentantes du style de "pont Croix".
Pendant la révolution, en 1794, elle a été abandonnée et détruite, permettant le réemploi de pierres et de couverture dans un corps de garde de la commune de Plovan.
Dans les années 1960 les ruines ont été restaurées, notamment avec le remontage de certaines piles.

Réponse 6


Nous sommes ici à l'embouchure de l'Odet cher à Tabarly. Nous ne sommes pas à Bénodet mais de l'autre coté à Sainte Marine et ce magnifique chemin nous mène au bout de l'estuaire, à la pointe de Combrit