Le printemps vient d'arriver
La forêt va s'habiller,
La nature s'éveiller
Et la faune caqueter
Le bourdon va travailler
De fleurs en fleurs
De couleurs en couleurs
Et de senteurs en senteurs
Les petits sortent de leur tanière,
Éblouis, sous l’œil de la mère.
On entend le chant des oiseaux
Se mêlant au bruissement des roseaux.
La forêt est devenue laborieuse,
Chacun produit son destin,
Dans cette immense usine travailleuse
La nature assouvit sa faim.
Je l'attend s car il gèle encore !
RépondreSupprimerEt notre poète revenu en splendeur printanière de quoi se réjouir des premières fleurs et des aventures prochaines
RépondreSupprimerMerci Bernard
Pour nous il n'a pas gelé, les mimosas sont fanés et les bourgeons sortent un peu partout
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