Un soir, au bord de l’océan
Regardant voler les goélands
Tranquille et apaisé
Je me pris à rêver.
Ces beaux oiseaux maîtres des airs
En planant maitrisent la mer
Et leurs sarabandes brunes
Vont au-delà de la brume
Sur mon rocher, je contemple
Cette mer qui, à mes pieds se brise,
Gronde au grès de la brise,
Et inonde de son écume ce temple.
Au loin un bateau apparait
Puis disparait et réapparait
Au grès de la houle et du ciel gris
Qui lui lancent comme un défit
Dans le bruit du vent
Et les cris des goélands
Béat, rêvant je
somnole,
Sur mon rocher je m’isole.
Elle est loin ma Méditerranée
Cette mer toujours bleue
Et son ciel crémeux et azuré
Qui, le soir lance mille feux.
Ici je revois Châteaubriant,
Sphinx sur son rocher
Rêvant face à l’océan
Les cheveux ébouriffés.
Nature éternelle
Ou le ciel et la mer
Se mêlent et s’entremêlent
Paysage
divin que j’aime
Photos de Quiberon et Belle Ille en mer par beau temps. Caphadock
Le jeu des vagues sur les rochers t'inspirent bel et bien !
RépondreSupprimerBiseeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeee
Le flux et le reflux comme un coeur qui bat
RépondreSupprimerun peu d'éternité approchée
Merci Christine et Arlette
RépondreSupprimerQuand on rêve le soir à la tombée de la nuit au bord de la mer on est transporté de-ci de-là au grès des vagues aidé par le sac et ressac mais aussi par l'odeur iodée de nos pensés