Que ne peut-on faire
Dans ce monde d’affaires,
De gens qui s’affairent
A tout défaire
Quand va-t-on comprendre
Qu’à tout prendre
Il vaut mieux s’entendre
S’aider, se surprendre
Nos affaires sont mitées.
Nos placards, oubliés
Sont tous contaminés
Et les bas de laine troués
Seuls bénéficiaires ces mites
Nous faisant croire au mythe
Du pauvre émérite
Condamné à leurs rites
La prolifération d’insectes
De plus en plus abjects
Dans leurs noirs intellects
Et leur plus profond irrespect
Gangrène profonde
De notre monde
Ou les chefs n’ont pas honte
De détruire leur monde
Quelle mite va-t-on suivre ?
N’écoutons pas leurs délires
Perdu dans leur salive
Pour se faire élire
Des mots, des mots
Rutilants et beaux
Cachant des faits
Où rien ne se fait
Que peut-on faire
Pour les défaire
Quel insecticide
En fera le génocide.
Caphadock
Bonjour, eh oui, votre texte est bien d'actualité malheureusement!
RépondreSupprimerCher Caphadock, il y a de la colère et les mots se trouvent forts pour la parler! La chute du poème est violente et les mots "insecticide" et "génocide" me troublent ici . Font-ils sens dans ce contexte?
RépondreSupprimerMerci Sylvie
RépondreSupprimerOui Brigitte de la colère contre les politiques qui nous prennent pour des imbéciles car en fait ils ne pensent qu'a eux, à leur ambition, à leur ego. Et si on les obligeait à appliqué tout ce qu'ils disent ?
Plus ils ont de "responsabilités" moins ils en ont. Je ne parle pas des inégalités qu'ils créent.
Pour ce qui est du génocide il s'agit de celui des mites dans le placard aux petites laines et n'ayant pas d'antimite j'ai pris son générique "l'insecticide"
J'ai publié il y a un an un sujet un peu du même cru comparant les politiques à Pinocchio et son nez qui s'allonge à chaque mensonge
Bonjour Capitaine, il ne faut pas avoir peur des gros mots graves, et je salue,Capitaine, votre colère :-)
RépondreSupprimerCher Caphadock merci de me l'expliquer ainsi.
RépondreSupprimerJe n'ai peut-être pas été assez claire sur le fait que j'aime ces mots comme votre colère.
ce sont ces deux derniers mots là qui me troublent,c'est tout.
Je me souviens bien de votre Pinocchio-politique:)
belle soirée à vous
Si mes mots sont dur que dire en ces périodes de fête des retraités qui touchent moins de 300 euros par mois ou de travailleurs même pas payés au SMIG (pourquoi les décideurs du SMIG ne sont-ils pas payés de la sorte sans cumul possible comme leurs victimes) Pendant ce temps nos politiques s’ébattent dans les beaux endroits au milieu de parties fines. Aux frais de qui ?
RépondreSupprimerDepuis 40 ans en dehors de mon métier je me suis occupé de jeunes, j’ai été élu mainte et mainte fois et toujours bénévole c’est-à-dire aucun revenu, toutes les responsabilités et même des frais. Je suis fou oui mais quel plaisir d’être au milieu des jeunes loin des turpitudes politiques