Le soir au firmament
Ma pensée vole au
vent
Je reste, alors,
impuissant,
Comme endormi,
nonchalant.
Mon nouvel horizon,
Perdu dans les
frondaisons
Dessine des lignes et
des ronds
Et avec le crépuscule
se confond.
Le calme devient
envahissant
Au-delà de mes
pensées
Le calme devient
apaisant
Alors je me mets à
rêver.
La lune s’est levée,
Je contemple, hagard
Sa lumière blafarde
Etant comme ensorcelé
Comme un tableau de
Turner
Peint en
« clair-obscur »
Laissant rêver à des
futurs
Je suis comme envoûté.
Bernard
Seelisburg au clair de lune (aquarelle de Turner)
les brumes de Turner... presque un tableau d'abstraction lyrique
RépondreSupprimerbravo pour ta poésie qui en parle si bien
Merci Josette. Devant ces tableaux je ne peux m'empêcher de réver
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