En jouant avec les mots je me suis amusé à dénoncer la gangrène de notre monde par les acariens de la politique
Que ne peut-on faire
Dans ce monde
d’affaires,
De gens qui
s’affairent
A tout défaire
Quand va-t-on comprendre
Qu’à tout prendre
Il vaut mieux
s’entendre
S’aider, se surprendre
Nos affaires sont
mitées.
Nos placards, oubliés
Sont tous contaminés
Et les bas de laine
troués
Seuls bénéficiaires
ces mites
Nous faisant croire au
mythe
Du pauvre émérite
Condamné à leurs rites
La prolifération
d’insectes
De plus en plus
abjects
Dans leurs noirs
intellects
Et leur plus profond
irrespect
Gangrène profonde
De notre monde
Ou les chefs n’ont pas
honte
De détruire leur monde
Quelle mite va-t-on
suivre ?
N’écoutons pas leurs
délires
Perdu dans leur salive
Pour se faire élire
Des mots, des mots
Rutilants et beaux
Cachant des faits
Où rien ne se fait
Que peut-on faire
Pour les défaire
Quel interprète
Les fera disparaître.
Caphadock
Hélas, bien vrai et aussi moche qu'un acarien! Belle journée à vous.
RépondreSupprimerEttttttttttt oui !!!
SupprimerL'Alsace a compris en se réunissant on fait des économies et on est plus fort. Les élus qui disparaîtront pourront être embauché pour balayer les rues
les maux des mots ! comme les marins d'Ulysse se mettre de la cire dans les oreilles pour ne plus entendre les fallacieuses sirènes !
RépondreSupprimerJ'ai de la chance je suis dur d'oreille, je ne sais pas ce qu'ils disent mais leurs mimiques me font bien rigoler
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